Deux concerts grandioses et pleins de surprises

Ce week-end, Julien Doré a enflammé deux soirs de suite l’Accor Arena de Paris avec son spectacle immersif et décalé baptisé "Le Pestacle". Une performance visuelle saisissante, mêlant tubes incontournables comme "Les limites", "Paris-Seychelles" ou "Nous", et morceaux récents de son dernier album "Imposteur", déjà vendu à plus de 140 000 exemplaires.

Dans une scénographie spectaculaire — entre jungle luxuriante, fonds marins peuplés de baleines volantes et vagues géantes — l’artiste a voulu créer une bulle d’évasion.

« Je ne monte plus sur scène pour prouver quelque chose. Je le fais pour partager, rêver, être utile dans cette époque un peu zinzin », confie-t-il à BFMTV.

Dorothée entre en scène, surprise et nostalgie au rendez-vous

Mais c’est samedi soir que la magie a atteint son sommet. Alors que Julien Doré entamait une séquence piano-voix, ponctuée de reprises sensibles comme "Les yeux de la mama" ou "Les démons de minuit", les premières notes de "Allo, allo monsieur l’ordinateur" ont retenti dans l’enceinte. Le logo du Club Dorothée s’est affiché, provoquant une vague de nostalgie... puis l’apparition de Dorothée elle-même, en chair et en os.

Émue, mais rayonnante, la chanteuse culte des années 80 est montée sur scène pour interpréter son tube iconique de 1985, accompagnée au piano par Julien Doré. Le public, entre larmes et cris de joie, lui a offert une standing ovationméritée.

« Merci Julien pour ce très beau moment de complicité et de tendresse », a posté Dorothée sur ses réseaux.

Réactions en cascade sur les réseaux sociaux

Ce duo intergénérationnel a enflammé TikTok, Instagram et X (Twitter) dès la fin du concert. Les commentaires traduisent une vague d’émotion :

• « Je suis retombée en enfance pendant 4 minutes »

• « Voir Dorothée à Bercy, c’était un rêve de gosse »

• « Quelle surprise incroyable, j’ai pleuré direct »

• « Julien Doré = génie. Dorothée = légende »

• « La maman de toute une génération, c’est elle »

Un clin d’œil à l’histoire, à l’innocence et à la magie du live, comme seul Julien Doré sait en créer.